Dans les camps principaux, les chefs des services du travail étaient également responsables de l’actualisation des fiches Hollerith. Dans un courrier du mois d’octobre 1944, le commandant du camp de Natzweiler-Struthof donnait ainsi l’ordre aux camps annexes d’enregistrer les détenus avec leur « profession exacte ». Des changements, tels que le transfert vers un autre kommando de travail ou le décès du détenu, devaient être signalés chaque semaine au service du travail du camp principal.