Vladimir Dimse, détenu estonien, a dû déposer ses vêtements à son arrivée au camp de Buchenwald. Il ne les a pas récupérés lorsqu’il a été transféré dans un kommando extérieur. Un tampon fait référence à l’arrêté du 11 novembre 1944 de l’Office central pour l’économie et l’administration, qui stipule que les détenus étrangers n’étaient pas autorisés à recouvrer leurs objets de valeur. Ils ont été de facto spoliés de leurs biens.